A-t-il enfreint la loi une dernière fois à moto ? Découvrez pourquoi la police lui retire son permis !

Préparez-vous à enfourcher votre moto pour une histoire pleine de rebondissements ! A-t-il enfreint la loi une dernière fois à moto ? Découvrez pourquoi la police lui retire son permis dans cet article captivant qui vous tiendra en haleine. Accrochez-vous, car les détails de cette affaire vont vous surprendre !

Quand on est motard, la tentation de s’illustrer par un wheeling, c’est-à-dire de lever la roue avant de sa monture, peut être irrésistible. Mais attention, cette péripétie est loin d’être sans conséquence. C’est ce qu’un motard a appris à ses dépens récemment, en voyant son permis retiré. Mais que s’est-il vraiment passé ?

Une cascade qui fait mal

Retour sur les faits. Le 4 mars dernier, un homme s’apprête à dire au revoir à sa moto mise en vente, après un dernier lavage. Pris d’une envie de quelque chose de spectaculaire pour cet au revoir, il réalise un wheeling. Manque de bol, c’est devant les autorités. Nos confrères du bi-hebdomadaire régional Le Pays d’Auge rapporte cette histoire.

Un passif qui ne passe pas

Le Code de la route ne rigole pas avec les wheelings. Conduire dans des conditions empêchant de manœuvrer aisément, c’est 35€ d’amende au moins, mais ça peut aller bien plus loin. Si le wheeling est spectaculaire, le casier du motard l’est tout autant.

  • Permis suspendu en février pour six mois.
  • Conduite sans assurance.
  • Positif au cannabis.

Autant d’aggravations qui ne jouent pas en sa faveur, bien au contraire.

Des conséquences lourdes

Pour couronner le tout, notre motard n’en est pas à sa première incartade. Déjà condamné en 2021 pour un autre délit routier, il récidive. Devant le juge, ce passif n’est pas resté lettre morte. Verdict : son permis est annulé et il doit attendre un mois avant de pouvoir tenter de le repasser.

Mais ce n’est pas tout. Il écope aussi de :

  • 5 mois de prison avec sursis.
  • Une période probatoire de deux ans.
  • Une obligation de soin pour son addiction aux drogues.
  • Et bien sûr, une amende de 35 euros.

Quand le wheeling coûte cher

Être motard, c’est aussi savoir se réfréner, même lorsqu’une figure acrobatique semble tentante. Car la loi, elle, ne fait pas de cadeau. Cette histoire nous enseigne qu’un wheeling, c’est bien plus qu’une sanction pécuniaire : c’est un risque de prison, de probation et d’annulation pure et simple du permis de conduire. Alors à tous les motards en quête d’adrénaline, restez prudents.

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