Alors que la quiétude de la ville de Compiègne semblait insouciante, un vent de tumulte souffle sur la concession Yamaha. En effet, une série noire semble s’abattre sur cet établissement avec une deuxième attaque bélier en seulement deux mois. Vous vous demandez ce qui se trame à Compiègne ? Accrochez-vous, car les mystères de cette affaire ébranlent la tranquillité des amateurs de deux-roues.
Une nouvelle attaque qui fait mal
Chers lecteurs de Compiègne et au-delà, préparez-vous à des nouvelles pour le moins choquantes ! La concession Yamaha Compiègne fait à nouveau les frais de malfaiteurs sans scrupules. Dans la nuit du lundi 3 au mardi 4 juin, la concession a été victime de sa deuxième attaque au véhicule bélier en l’espace de seulement deux mois.
Cette fois, les voleurs ont enfoncé la cloison temporaire en bois aggloméré, installée après la précédente intrusion. Le patrons de Yamaha Compiègne, Frantz Abraham, a annoncé que les malfaiteurs ont dérobé quatre motos et un quad, causant ainsi une panique matinale.
Scène de chaos dès l’aube
L’alerte a retenti vers 5h30, provoquant l’intervention rapide de Frantz Abraham qui est arrivé sur les lieux à peine dix minutes plus tard. Ce qu’il a trouvé était un véritable chaos : des motos éparpillées et enchevêtrées, la cloison temporaire trouée par un véhicule Scenic.
Les enregistrements de la vidéo-surveillance ont révélé que les voleurs avaient chargé les motos et le quad dans deux fourgons avant de prendre la fuite, laissant derrière eux un champ de ruines.
Des dégâts considérables
Selon Frantz Abraham, les dommages sont colossaux. Outre les cinq véhicules volés, on compte pas moins de 21 motos endommagées. La destruction du mur porte le préjudice total à environ 200.000€, une somme identique aux dégâts de la première attaque survenue en avril.
La première attaque avait vu un groupe de quatre cambrioleurs emporter deux motocross et deux vélos électriques après avoir utilisé un camion benne pour défoncer la vitrine. Un seul d’entre eux avait été arrêté, trahissant la dure réalité du monde souterrain des dettes de stupéfiants.
Des mesures de sécurité renforcées
Face à cette nouvelle agression, Frantz Abraham n’a pas chômé. Il a immédiatement fait installer des blocs de béton pour protéger la cloison temporaire. « Il y a assez d’élan pour accélérer et faire tomber la cloison », a-t-il observé.
En dépit de ce coup dur, la concession a repris son activité dès le lendemain de l’attaque au Scenic, un courage qui mérite d’être salué. Mais après 13 ans de présence et quatre attaques similaires, les questions sur la sécurité restent ouvertes.
Appel à la vigilance
- Installations de sécurité : renforcer les dispositifs de surveillance et protection.
- Collaboration active : coopération avec les forces de l’ordre.
- Sensibilisation : alerter la communauté locale sur les risques potentiels.
Dans un contexte local où les commerces se battent pour leur survie, ces incidents répétés posent la question de la sécurité à Compiègne. Espérons que ces mesures dissuaderont les malfaiteurs et restaureront un peu de tranquillité dans cette paisible ville.